La perte de la surface lisse revêtue de cartilage et la dégradation dégénératif de l’ensemble de l’articulation du genou provoque de façon progressive son dysfonctionnement, mais également affecte les articulations du voisinage avec déformations de l’axe du membre et de sa forme, instabilité et boiterie qui entrainent aussi des chutes spontanées, souvent néfastes mais surtout des douleurs qui arrivent même à réveiller le patient en altérant sa qualité de vie, son état d’activité et de santé en générale.
Depuis de longues années, les scientifiques ont effectué de sévères efforts pour donner une solution permanente, fiable et bien tolérée par les patients pour le problème de gonarthrose évoluée:
Cette procédure chirurgicale a comme but de remplacer les différentes parties de l’articulation du genou avec la pose de PTG (Prothèse Totale du Genou) tri-compartimentale ou Unicomplatimentale (La PUC), en lui conférant sa fonction et sa cinétique presque native afin de libérer le patient de ses symptômes et lui permettre une mobilité pour ses activités quotidiennes de manière quasi normale.
La durée de vie d’une PTG de dernière génération dépasse les 25 ans selon les dernières études et dans la plus grande majorité des cas de nos patients, on constate dans les 6 mois qui suivent opération de l’arthroplastie, qu'il s'agit d’une prothèse de genou dite « oubliée ».
Dans notre pratique chirurgicale à la clinique Notre-Dame,
Dr Kosmas Sidiropoulos // Chirurgie Orthopédique et Traumatologie
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